Iryna Verechtchouk, la vice-première ministre ukrainienne, a partagé un message controversé et rapidement retiré le lundi 3 juin. Dans ce post intrigant, elle évoquait l’utilisation d’armes occidentales pour frapper une cible située en Russie. Alors que cette action n’a pas été confirmée officiellement, des sources rapportent que des lanceurs de missiles russes S-300 ont été détruits par des Himars américains dans la région de Belgorod. Cette frappe, approuvée par Joe Biden, soulève des questions sur les implications et les réactions des différentes parties impliquées.
L’Institute for the Study of War a rapporté les détails de l’incident, soulignant l’utilisation des Himars dans une zone à proximité de la frontière. Des images publiées sur les réseaux sociaux russes et des sources indépendantes appuient ces affirmations, confirmant la destruction des lanceurs et des postes de commandement. Cependant, les enjeux politiques et diplomatiques entourant cette situation restent vifs, avec des mises en garde et des avertissements émis par les responsables russes et américains.
Les réactions internationales à cet événement soulignent les tensions croissantes entre l’Ukraine et la Russie, ainsi que l’implication des alliés occidentaux dans le conflit. Alors que des preuves semblent confirmer l’implication des forces ukrainiennes dans cette frappe, les conséquences potentielles et les réponses futures demeurent incertaines. Cette situation délicate met en lumière les enjeux complexes et délicats auxquels l’Ukraine est confrontée, ainsi que les ramifications internationales de ses actions.
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