La présidente de la Fédération norvégienne de football, Lise Klaveness, a exprimé des inquiétudes quant à la direction prise par Gianni Infantino, président de la FIFA, ces derniers temps. Klaveness a critiqué Infantino pour avoir manqué de nombreuses occasions de joindre le geste à la parole en matière de réformes, notamment en matière de droits humains. Selon elle, l’approche polarisée d’Infantino mine les principes universels sur lesquels repose le football et ne favorise pas l’unification du football mondial. Klaveness a également mentionné une diminution de la transparence dans les processus de prise de décision dans le football. Néanmoins, elle a également reconnu les évolutions positives, telles que l’argent alloué au développement et à l’éducation des associations membres.
Il est indéniable que diriger la FIFA est un défi considérable. Comme le souligne Klaveness, unir les 210 membres de l’instance faîtière du football mondial est une tâche difficile. Cependant, il est tout aussi important pour le président de la FIFA de remplir son mandat le plus important, à savoir l’unification du football mondial. Malheureusement, selon Klaveness, Infantino ne remplit pas pleinement cette fonction.
La critique de Klaveness à l’égard d’Infantino porte principalement sur son manque de transparence et sur son approche polarisée. Elle accuse Infantino de banaliser les violations des droits humains et d’utiliser une rhétorique qui alimente le conflit entre l’Est et l’Ouest. Selon elle, cette approche nuit à l’universalité des principes sur lesquels repose le football et ne permet pas de rassembler les membres de la FIFA.
Cependant, Klaveness n’oublie pas de souligner les évolutions positives qui ont eu lieu sous la direction d’Infantino. Elle mentionne notamment l’argent alloué au développement et à l’éducation des associations membres, qui est crucial pour l’avenir du jeu. Elle fait également l’éloge des nombreuses personnes talentueuses et compétentes qui travaillent au sein de la FIFA au niveau administratif.
En conclusion, la critique de Klaveness à l’égard d’Infantino est légitime. Elle met en lumière les points faibles et les opportunités manquées de sa direction. Néanmoins, il est également juste de noter les évolutions positives qui ont eu lieu sous son mandat. Il faut espérer que les critiques de Klaveness favoriseront le changement et permettront à la FIFA de mieux remplir son mandat d’unification du football mondial.
Mots-Clés: NFF, Gianni Infantino, FIFA, Lise Klaveness, transparence