Le président Joe Biden a récemment lancé un défi audacieux à moins de 100 jours de l’élection présidentielle du 5 novembre. Dans un article d’opinion publié dans le Washington Post le lundi 29 juillet, il a rappelé que « personne n’est au-dessus de la loi » dans une nation fondée sur ce principe crucial. Il a exprimé sa préoccupation quant à la perte de confiance du public dans les décisions de la Cour suprême et a souligné la nécessité d’un changement radical.
Lors d’un discours à la bibliothèque présidentielle L.B.J. à Austin, Joe Biden a dévoilé ses projets pour réformer la Cour suprême et renforcer la démocratie. Il a proposé un amendement constitutionnel pour annuler la décision récente de la Cour soutenant l’immunité présidentielle et pour limiter le mandat des juges à 18 ans, avec une nomination tous les deux ans. Ces mesures visent à réduire l’influence politique à long terme et à restaurer la confiance du public envers l’institution judiciaire.
La Maison Blanche a exprimé son soutien à ces initiatives ambitieuses mais reconnaît les défis posés par un Congrès profondément divisé. Joe Biden cherche également à mettre en place un code éthique contraignant pour les juges de la Cour suprême, afin de prévenir les conflits d’intérêts et les scandales éthiques. Cette volonté de réforme reflète la frustration croissante du président face à une Cour suprême polarisée et contestée.
En parallèle, Joe Biden vise à renforcer l’éthique et l’intégrité des juges de la Cour suprême, confrontés à des scandales et à des allégations de partialité. Les appels en faveur de leur récusation dans des affaires politiquement sensibles soulignent la nécessité d’une réforme en profondeur pour restaurer la confiance du public dans le système judiciaire. Cette initiative marque une étape cruciale dans les efforts du président pour promouvoir la transparence et l’indépendance de la justice aux États-Unis.
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