dimanche 8 septembre 2024
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Emeutes à Brasilia : 1 400 détenus remis en liberté provisoire

Le 20 janvier, le Tribunal Suprême Fédéral (STF) au Brésil a décidé de libérer provisoirement 464 personnes soupçonnées de participer aux violences de Brasilia. Le juge Alexandre de Moraes a examiné 1 406 dossiers concernant des personnes suspectées d’être impliquées dans l’invasion et le saccage des centres du pouvoir dans la capitale.

Le 8 janvier, des milliers de partisans de l’ex-président d’extrême droite Jair Bolsonaro ont pris d’assaut le palais présidentiel, le Congrès et la Cour suprême, vandalisant du mobilier, des œuvres d’art précieuses et une partie de l’infrastructure. Cet assaut est survenu une semaine après l’arrivée au pouvoir de l’icône de la gauche, Luiz Inacio Lula da Silva, vainqueur de l’élection présidentielle en octobre dernier.

Depuis lors, plus de 2 000 personnes ont été arrêtées. M. Moraes a déterminé que les cas particuliers, tels que les personnes âgées, les femmes enceintes et les mères de jeunes enfants, seraient libérés pour des raisons humanitaires avant d’être entendus. Cependant, il a ordonné la détention préventive de 942 autres personnes, arguant qu’il existe des preuves qu’elles ont participé à des actes de « terrorisme », à une association de malfaiteurs, à l’abolition violente de l’Etat de droit et à un coup d’Etat.

En revanche, le juge a décidé de libérer provisoirement 464 autres détenus, sous certaines conditions, telles que le port d’un bracelet électronique et l’interdiction d’utiliser les réseaux sociaux. Il a estimé qu’il existe des fortes suspicions de responsabilité et de participation à des crimes, mais que les preuves n’ont pas été recueillies jusqu’à présent.

Jair Bolsonaro fait l’objet d’une enquête de la part des autorités brésiliennes, qui le soupçonnent d’être l’instigateur des émeutes, et de seize enquêtes pour irrégularités électorales. L’ancien président, qui s’est rendu aux États-Unis deux jours avant la passation de pouvoir, rejette toutes ces accusations.

Le Tribunal Suprême Fédéral (STF) au Brésil a décidé de libérer provisoirement 464 personnes soupçonnées d’avoir participé aux violences de Brasilia, tandis que 942 autres resteront en détention. Le juge Alexandre de Moraes a évalué 1 406 dossiers de personnes soupçonnées d’être impliquées dans l’invasion et le saccage des centres du pouvoir dans la capitale. Des milliers de partisans de l’ex-président Jair Bolsonaro ont pris d’assaut le palais présidentiel, le Congrès et la Cour suprême, vandalisant du mobilier, des œuvres d’art inestimables et une partie de l’infrastructure.

M. Moraes a déterminé que les cas particuliers, tels que les personnes âgées, les femmes enceintes et les mères de jeunes enfants, seraient libérés pour des raisons humanitaires avant d’être entendus. Cependant, il a ordonné la détention préventive de 942 autres personnes, arguant qu’il existe des preuves qu’elles ont participé à des actes de « terrorisme », à une association de malfaiteurs, à l’abolition violente de l’Etat de droit et à un coup d’Etat.

Le juge a en revanche décidé de libérer provisoirement 464 autres détenus, sous certaines conditions, telles que le port d’un bracelet électronique et l’interdiction d’utiliser les réseaux sociaux. Il a estimé qu’il existe des fortes suspicions de responsabilité et de participation à des crimes, mais que les preuves n’ont pas été recueillies jusqu’à présent.

Jair Bolsonaro fait l’objet d’une enquête de la part des autorités brésiliennes, qui le soupçonnent d’être l’instigateur des émeutes, et de seize enquêtes pour irrégularités électorales. L’ancien président, qui s’est rendu aux États-Unis deux jours avant la passation de pouvoir, rejette toutes ces accusations.

Le Tribunal Suprême Fédéral (STF) au Brésil a décidé de libérer provisoirement 464 personnes soupçonnées d’avoir participé aux violences de Brasilia, tandis que 942 autres resteront en détention. Alexandre de Moraes, juge du STF, a examiné 1 406 dossiers concernant des personnes suspectées d’être impliquées dans l’invasion et le saccage des centres du pouvoir dans la capitale.

Le 8 janvier, des milliers de partisans de l’ex-président d’extrême droite Jair Bolsonaro ont pris d’assaut le palais présidentiel, le Congrès et la Cour suprême, vandalisant du mobilier, des œuvres d’art précieuses et une partie de l’infrastructure. Cet assaut est survenu une semaine après l’arrivée au pouvoir de l’icône de la gauche, Luiz Inacio Lula da Silva, vainqueur de l’élection présidentielle en octobre dernier.

Depuis lors, plus de 2 000 personnes ont été arrêtées. M. Moraes a déterminé que les cas particuliers, tels que les personnes âgées, les femmes enceintes et les mères de jeunes enfants, seraient libérés pour des raisons humanitaires avant d’être entendus. Cependant, il a ordonné la détention préventive de 942 autres personnes, arguant qu’il existe des preuves qu’elles ont participé à des actes de « terrorisme », à une association de malfaiteurs, à l’abolition violente de l’Etat de droit et à un coup d’Etat.

Le juge a en revanche décidé de libérer provisoirement 464 autres détenus, sous certaines conditions, telles que le port d’un bracelet électronique et l’interdiction d’utiliser les réseaux sociaux. Il a estimé qu’il existe des fortes suspicions de responsabilité et de participation à des crimes, mais que les preuves n’ont pas été recueillies jusqu’à présent.

Jair Bolsonaro fait l’objet d’une enquête de la part des autorités brésiliennes, qui le soupçonnent d’être l’instigateur des émeutes, et de seize enquêtes pour irrégularités électorales. L’ancien président, qui s’est rendu aux États-Unis deux jours avant la passation de pouvoir, rejette toutes ces accusations.

Le 20 janvier, le Tribunal Suprême Fédéral (STF) au Brésil a décid