samedi 27 juillet 2024
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Une loi pour sauver la planète et l’économie : le climatisme, nouvelle ère du management économique sans profits prioritaires.

Le climatisme : l’espoir d’une économie durable

Face aux défis du changement climatique, nombre d’entre nous se demandent si l’écologie et l’économie sont incompatibles. Sommes-nous condamnés à choisir entre la prospérité économique et la préservation de notre planète ? La réponse est non. Une solution existe, elle repose sur un changement de cap des entreprises. Comment ? En modifiant la façon de rémunérer les actionnaires.

Le vote d’une loi à l’Assemblée nationale pourrait changer la donne. Trois critères principaux gouverneraient dorénavant leur rémunération : la réduction des émissions de gaz à effet de serre, l’investissement net et la justice sociale. Les entreprises ne chercheraient plus à maximiser leurs profits, mais plutôt à concilier les impératifs économiques et écologiques. La rémunération des décideurs économiques serait proportionnelle aux accomplissements écologiques et à l’investissement, mais il n’y aurait pas de dividende en cas de désinvestissement.

En outre, les émissions des fournisseurs et des transporteurs seraient incluses dans les calculs afin d’inciter les entreprises à adopter des pratiques vertueuses de bout en bout. Ceci inciterait les entreprises à endosser la responsabilité écologique et macroéconomique de leurs activités, en les rendant compatibles avec l’intérêt commun, la sauvegarde de la planète sans sacrifier l’activité économique ni la justice sociale.

Ce changement n’aurait pas pour seul mérite de limiter l’impact environnemental des entreprises. Il inciterait également les entreprises à investir davantage et de manière plus responsable. L’investissement net est un indicateur de prospérité macroéconomique. La prospérité économique est étroitement liée à la capacité de produire, ce qui est fortement tributaire des investissements réalisés.

En adoptant une perspective climatiste, les actionnaires auraient donc un intérêt direct à favoriser des pratiques plus durables et responsables de la part des entreprises. Les profits seraient relégués à une place secondaire, tandis que la prise en compte de l’enjeu écologique et macroéconomique serait constante.

Ce simple changement de règles est susceptible de révolutionner le système économique en force aujourd’hui. Clémence Dubois souligne l’importance de ce changement de cap dans son livre « Du désespoir à l’espoir, vers une société écologique et sociale ». Ce nouveau système économique pourrait constituer un véritable espoir pour l’avenir de notre planète.

Mots-Clés: climatisme, économie, écologie, entreprise.

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