Dans la municipalité d’Ashdod, en Israël, une installation artistique évoque les souffrances des otages détenus par le Hamas. Cette scène rappelle la tragédie qui se déroule à quelques kilomètres de là, à Gaza.
Or, une jeune entrepreneuse, gère avec son partenaire un club original de « footsy volley » sur une plage d’Ashdod offrant une vue sur le port industriel et la raffinerie. Elle jongle entre ses activités et son nouveau rôle de journaliste pour la chaîne 14, sans expérience ni diplôme. Elle contribue ainsi à un discours controversé sur les événements actuels en Israël.
Or préfère communiquer via les réseaux sociaux, mais sa carrière de journaliste lui offre une plateforme pour s’exprimer. Ses opinions divergent de celles de son mentor, le ministre Itamar Ben Gvir, pour qui elle éprouve une certaine admiration malgré leurs différences idéologiques.
À Ashdod, la ville où vit Or, l’ombre de Gaza se profile à l’horizon, rappelant la réalité brutale de la situation. Les otages israéliens du Hamas restent dans les esprits, même si leur sort divise les opinions. Une récente initiative en soutien aux captifs a mobilisé la communauté locale, ravivant le débat sur la politique de sécurité en Israël.
Le poète local, Sami Shalom Chetrit, exprime le sentiment d’impuissance face à la situation, où les slogans patriotiques masquent la complexité des enjeux. La ville d’Ashdod, ancrée dans la droite israélienne, oscille entre solidarité et remise en question des politiques actuelles.