La guerre en Ukraine continue de faire des remous. Hier encore, les événements sur le terrain ont été couverts en direct par les médias. Si vous avez manqué les informations, vous pouvez retrouver notre direct en cliquant sur ce lien. Mais, au-delà des événements du moment, certaines nouvelles font état de nouvelles avancées concernant l’équipement militaire de Kiev. En effet, les Américains ont fourni à Kiev le kit JDAM, qui permet de transformer des bombes en missiles et ainsi de frapper des cibles plus lointaines.
La Fédération internationale d’escrime a également fait l’annonce de la réintégration des athlètes russes et biélorusses. Cette décision a été prise après près d’un an de suspension, à la suite du scandale de dopage qui avait éclaté lors des Jeux olympiques de Rio.
Cependant, il ne faut pas se voiler la face quant aux conséquences des sanctions internationales envers la Russie. Les oligarques ont su s’adapter et renverser la vapeur. Comme l’explique une tribune, la Russie a renforcé son économie de guerre et s’est adaptée aux sanctions.
En Lettonie, une initiative surprenante a été prise pour lutter contre l’ivresse au volant. En effet, les voitures des automobilistes contrôlés en état d’ivresse sont envoyées en Ukraine. Une approche plus que singulière, qui questionne sur l’efficacité de la mesure.
Dans une tribune, l’auteur s’interroge : « Dans quelles circonstances l’Europe pourrait-elle se considérer comme stratégiquement autonome ? ». Une réflexion qui soulève des questions essentielles quant à la politique internationale de l’Europe et sur son rôle dans le monde.
Autre questionnement dans une autre tribune : « Les virages non coordonnés du libre-échange vers le protectionnisme exacerbent les tensions internationales ». Un point d’actualité clé, alors que les États-Unis continuent de mettre en place des mesures protectionnistes, créant ainsi des tensions avec ses alliés.
Pour finir, un entretien avec un expert en diplomatie aborde la question de la relation Paris-Londres post-Brexit. S’il est certain que la confiance doit être réinstaurée entre les deux capitales, il est de mise de rappeler que cela prendra du temps.
Enfin, une dernière information donne la parole à un sinologue qui affirme que « La Chine n’est pas et ne sera pas le médiateur de la guerre en Ukraine ». Une précision importante, qui vient mettre à mal les espoirs de ceux qui imaginaient une intervention chinoise pour régler la situation sur place.
Mots-Clés: Ukraine, États-Unis, Russie, sanctions internationales.