La France est actuellement dans un état d’agitation extrême, oscillant entre joie, colère et tristesse en vue d’un événement majeur qui se profile à l’horizon. Une tension palpable règne dans l’attente des résultats du second tour des élections législatives du 7 juillet. Les enjeux sont immenses, avec la possibilité pour l’extrême droite de prendre le contrôle de l’Assemblée nationale. Certains comparent cette période à des moments historiques cruciaux tels que mai 1981 à l’envers ou un contre-mai 1968.
Des citoyens de tous horizons expriment leur inquiétude face à cette montée potentielle de l’extrême droite. Des sentiments de peur et d’appréhension se répandent dans la population, nourris par des craintes quant aux conséquences d’une telle prise de pouvoir. L’idée d’une société divisée et menacée dans ses fondements même préoccupe de nombreux Français, comme en témoigne le témoignage de Marie-Agnès, bouleversée par les dérives racistes observées dans les discours et les médias.
La montée du RN suscite des réactions vives et des craintes concrètes chez les citoyens. Alain Bouakkaz redoute les potentiels abus de pouvoir et l’impact sur les libertés individuelles, tandis que Béatrice Moulin-Martin exprime sa traumatisme face à un climat de suspicion croissant entre les gens. Cette montée de l’inquiétude traduit une profonde préoccupation quant à l’avenir de la France et de ses valeurs fondamentales.