Le débat autour du bizutage en France refait surface avec des propos percutants de Ségolène Royal. L’ancienne ministre déléguée à l’enseignement scolaire, qui a joué un rôle clé dans l’adoption de la loi anti-bizutage en 1998, dresse un constat alarmant : « Les bizuteurs sont des petits nazillons ». Ces mots forts reflètent son indignation face à la persistance de cette pratique humiliante et souvent violente, malgré son interdiction légale depuis plus de deux décennies. Dans cet article, nous examinerons les causes de cette résurgence, les conséquences pour les victimes et les institutions, ainsi que les solutions proposées pour éradiquer ce fléau.