Ce nouveau drame, qui s’ajoute à la longue liste des naufrages en Méditerranée, a provoqué l’indignation de la communauté internationale. L’Union européenne a condamné « avec la plus grande fermeté » le naufrage qui « a fait des victimes innocentes, dont des enfants ».
Le Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, a déclaré que « les nombreux naufrages dans la Méditerranée nous rappellent que nous ne faisons pas assez pour sauver des vies ». Il a également souligné que « la plupart des personnes qui traversent la Méditerranée sont des réfugiés ou des migrants à la recherche d’une vie meilleure ».
Le Haut-Commissaire a demandé à l’Union européenne d’accorder « une protection plus large aux réfugiés et aux migrants, et de ne pas les renvoyer dans des pays où leurs vies et leurs libertés sont menacées ». Il a également appelé à « renforcer les moyens de sauvetage en mer et à mettre en place des systèmes de relocalisation plus efficaces ».
En dépit des appels à l’action, les naufrages se multiplient en Méditerranée, et les victimes innocentes s’accumulent. Il est temps que l’Union européenne mette en place des solutions durables pour mettre fin à ces drames.
La tragédie qui s’est déroulée dimanche 26 février, au large des côtes de la Calabre, est l’un des nombreux naufrages qui se sont produits en Méditerranée depuis le début de l’année. Entre 150 et 180 personnes, originaires du Pakistan, de l’Afghanistan et de la Turquie, ont été entassées dans une embarcation qui a heurté un rocher et s’est brisée. Le bilan provisoire s’élève à 62 morts, dont 14 enfants, dont un nouveau-né.
Le gouverneur de la Calabre, Roberto Occhuito, a dénoncé « l’indifférence générale » dont ces naufrages sont victimes, et a souligné que ce drame s’est produit quelques jours seulement après l’adoption d’une loi controversée en Italie limitant les navires humanitaires à un seul sauvetage à la fois.
La communauté internationale a condamné ce nouveau drame avec la plus grande fermeté. Le Haut-Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés, Filippo Grandi, a rappelé que « la plupart des personnes qui traversent la Méditerranée sont des réfugiés ou des migrants à la recherche d’une vie meilleure ». Il a demandé à l’Union européenne de « ne pas les renvoyer dans des pays où leurs vies et leurs libertés sont menacées », et d’accorder « une protection plus large aux réfugiés et aux migrants ».
Malgré ces appels, les naufrages continuent de se produire en Méditerranée, et les victimes innocentes s’accumulent. Il est temps que l’Union européenne trouve des solutions durables pour mettre fin à ces drames.
Mots-Clés: Roberto Occhuito, Filippo Grandi, Union européenne, Pakistan, Afghanistan, Turquie, Calabre, Méditerranée, Réfugiés, Migrants.