The Flash revient sur le devant de la scène avec Ezra Miller et Andy Muschietti à la direction. Dans le film, Barry Allen, joué par Miller, est un personnage meurtri qui cherche à changer le passé pour infléchir le cours du destin. Ayant été aspergé de produits toxiques, il a désormais la capacité de se déplacer à la vitesse de la lumière. Le voyage dans le temps va lui causer de nombreux problèmes, conduisant à l’ouverture aux réalités parallèles. Il est accompagné dans sa mission par Batman, interprété par Michael Keaton, et Supergirl, jouée par Sasha Calle. Leur ennemi est le général kryptonien Zod, interprété par Michael Shannon.
Cependant, le fond de l’histoire est inutilement compliqué, au point d’être abscons, comme le film Tenet de Christopher Nolan. Les effets spéciaux ne suffisent pas à masquer la superficialité de l’histoire. The Flash montre que les nouveaux dirigeants de DC Studios cherchent à rivaliser avec Marvel en utilisant le concept de « multivers », sans pour autant apporter de réelle complexité.
En fin de compte, cela confirme l’adage selon lequel plus Warner Bros copie Disney, plus ses films sont médiocres. En revanche, les films comme Batman, Wonder Woman et The Joker, loin de la machinerie superhéroïque, ont été des réussites.
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